Les principaux responsables syndicaux ont été reçus par sa majesté mais visiblement c’est encore un "rendez-vous pour rien" et donc on continue le "jeu" de ni oui ni nonL’épisode suivant sera-t-il, comme toujours, l’appel à une journée de mobilisation inter-professionnelle qui fera encore passer les grévistes au mieux pour de joyeux promeneurs, au pire pour des fainéants qui n’ont rien d’autre à faire qu’emm.der leur concitoyens ?
Et pour quel bénéfice ?
Jusqu’à quand les "têtes pensantes" vont-elles se laisser balader de petits-déjeuners en rendez-vous élyséens ? De réunions infructueuses en propositions inconsistantes ?
La précarité fait partie du quotidien d’un nombre sans cesse croissant de français et, même les fonctionnaires réputés "privilégiés" n’en sont pas protégés (lire / signer la pétition )
Pourtant comme "hébétés" nous ne répondons au "hold-up" que représentent toutes les réformes assassines que distille sa majesté par une "journée de grève" !!!
Quelle crédibilité ont ces journées ?
Malgré mes convictions, je ne peux plus suivre une telle attitude parce que dorénavant une journée de grève me fait penser à "la montagne qui accouche d’une souris !"On mobilise les gens à coup de "camarades" mais ceux qui sont sensés monter au créneau pour nous se contentent de tièdes commentaires qui n’afadissent même pas le rire sarcastique de notre triste sire (lire), bien décidé à faire de la France les galeries "farfouillettes" de la démocratie.
Il a beau jeu le président de jouer le "grand réformateur de la VIème république" (alors qu’il n’est qu’un sinistre bradeur) vu que parmi ceux qui devraient lui tenir tête personne ne semble capable de le faire !
La poste est déjà partiellement privatisée, et n’en doutons pas le reste des services publics suivra sous peu ! A moins que… dans un sursaut la "France d’en bas" celle qui se lève tôt, paie un loyer et n’arrive pas à boucler ses fins de mois se dresse comme un seul homme pour tenir tête à la chienlit des "ci-devants" qui ont fait main basse sur nos rêves !