On pourrait me reprocher de parler beaucoup de M. le Président et de ses nombreuses idées sur tout... Mais, je prends le risque !
Aujourd’hui, la presse se fait l’écho de la nouvelle volte-face du président concernant son implication dans la campagne électorale pour les municipales de mars 2008.
Lors de l’une de ses nombreuses interventions le chef de l’Etat avait déclaré qu’il s’engagerait "parce que le concept même d’élection dépolitisée est absurde"…
Alors que les sondages le donnent unanimement en "chute libre" voilà qu’il nous dit "je n’ai pas à me mêler de la campagne municipale" (22/01 à Pau)
CQFD ? se serait-il rendu compte que sa présence aux côtés des candidats pourrait être plus nuisible que bénéfique ?
Et puis, comme il est aisé de dire à présent qu’il n’a pas à s’en mêler quand on sait qu’il a reçu personnellement les candidates et candidats… (dont la représentante aubagnaise de l’ump et qu’il n’est pas fait mystère de l’appétit qu’a ce parti pour notre ville et pour celles qui pourraient résister à la sarkozyte aigue)
Une machine arrière qui donne l’impression non pas d’un "lâché" mais d’un repli stratégique à un moment où les français semblent s’éveiller d’une torpeur quasi béate dans laquelle ils baignaient apparemment depuis le 6 mai.
Une machine arrière qui donne l’impression non pas d’un "lâché" mais d’un repli stratégique à un moment où les français semblent s’éveiller d’une torpeur quasi béate dans laquelle ils baignaient apparemment depuis le 6 mai.
Espérons que ce réveil va être réél et tonique et qu’il va permettre de montrer au Président que nous n’avons pas la mémoire courte, qu’il ne peut décemment continuer à dire tout et son contraire uniquement parce qu’il veut camoufler les défauts de ses réformes indésirables, remplir le vide inter-sidéral de son action en faveur du pouvoir d’achat et "surfer" sur une vague de succès qui s’émousse déjà tant la réalité du quotidien ne peut se satisfaire de poudre aux yeux !
La République n’est pas sienne, la République, elle est à nous, le peuple.
Et c’est à nous qu’il revient de la défendre contre ceux qui ont programmé sa refonte en une vassale des "empires" de l’argent, toujours plus prompte à l’injustice, au racisme, à l’intolérance, à l’égoïsme, et au favoritisme envers les riches, le patronat, les barons de l’industrie qui continuent à délocaliser alors que ce même Président s’était engagé contre les délocalisations… aussi !
La République n’est pas sienne, la République, elle est à nous, le peuple.
Et c’est à nous qu’il revient de la défendre contre ceux qui ont programmé sa refonte en une vassale des "empires" de l’argent, toujours plus prompte à l’injustice, au racisme, à l’intolérance, à l’égoïsme, et au favoritisme envers les riches, le patronat, les barons de l’industrie qui continuent à délocaliser alors que ce même Président s’était engagé contre les délocalisations… aussi !
La manipulation à l'état pur...