Le discours est, sans conteste, digne du moyen-âge.
Pour cet homme que l'on nomme "saint-père", la femme doit demeurer avant toute chose une "poule pondeuse" puisque selon ses propos à lire (ici et ici) l'amour conjugal n'aurait pour but que la procréation... !
Bien sûr !
Une femme doit mettre au monde des enfants qu'elle le veuille on non. Ne retrouve-ton pas là la merveilleuse ouverture d'esprit que l'église a montré de tous temps pour la "créature - femme"
Cet homme disais-je...
Il n'est, je pense, pas étonnant que la prêtrise, tout autant que la papauté ne restent accessibles qu'aux hommes, tant dans le milieu religieux, l'image de la femme se cantonne à être la fille d'un homme, puis l'épouse d'un homme et enfin la mère (de préférence d'un fils)...
Pas une femme en tant qu'être à part entière, libre de ses choix, maîtresse de son corps, de ses ovaires.
Les propos que l'église à travers ses papes tient depuis des sicèles, constituent une non-reconnaissance de notre droit à exister pour nous-mêmes.
"La mère" devient dans ce propos, un rôle réducteur dans lequel ils persistent à nous confiner au mépris de notre libre arbitre, du choix que l'on peut faire de ne pas vouloir n'être qu'une matrice !
Pour ces "saints-hommes" la femme demeure une "sous-créature" c'est en tout cas mon impression.
Coment s'étonner avec un discours aussi rétrograde que les églises se vident, que les vocations se raréfient ?
Bref, tout ceci me ramène à la petite phrase qui est dans mon profil : féministe tant qu'il le faudra ! La lutte continue.
A lire, ci-dessous une synthèse des infos droits et santé (cliquer sur l'image pour l'agrandir).